La vieille chaudière a rendu l’âme…

Ce samedi de grand froid, où on a pas vraiment envie de faire autre chose que rester chez soi à ne rien faire d’autre que regarder le feu dans la cheminée, la chaudière a rendu l’âme. Heureusement, grâce à la PAC installée l’année dernière, elle ne faisait plus que l’eau chaude… Néanmoins pas terrible… Ce dimanche, visite à Plan de Campagne pour l’achat d’un ballon nucléaire et installation provisoire dans le garage !

La vieille chaudière. Les 2 tuyaux rouges vont au nouveau ballon d’eau chaude.

Fifi le Dominicoplombier

Le chauffage de la Ventarelle !

Le billet qui suit est une copie de celui que je viens de déposer sur le site www.chaleurterre.com sous le nom de Fifi13 (original, non ?)

Le  lien ici !

Voici la description de mon chauffage et particulièrement de ma nouvelle PAC DAIKIN Altherma HT 16 !

La maison en 1997

– Date de construction : 1970 (avant la première crise du pétrole)
– Superficie : 146 m2
– Lieu : Bouches du Rhône
– Orientée sud, plein pied, sur vide sanitaire
– Murs en briques creuses (2 rangées de 15 cm) + 1 à 2 cm plâtre
– Dalle béton au plafond mais combles perdus
– Nombreuses portes fenêtres en simple vitrage (6) sur terrasse
– Une cheminée ouverte

L’ancien chauffage

– Chaudière acier Zaegel-Held type BCI 2 au fuel (25kW, incluant ECS) datant de 92 ou 93
– 11 radiateurs : séjour (3), cuisine (1), couloir (1), chambres (4), salle de bain (1), salle de douche (1)
– Régulation en tout ou rien à partir d’un thermostat mécanique dans le séjour

Les (nombreux) travaux depuis 1997:

– Installation d’un thermostat programmable simple dans une chambre loin de la cheminée…
– Installation de robinets thermostatiques sur les radiateurs des pièces les plus chaudes
– Déroulage de laine de verre 20 cm sur 75% des combles (le reste servant de grenier)
– Réfection en PER du circuit de distribution radiateurs, l’ancien en acier faisant l’objet de plus en plus de fuites
– Remplacement des ouvrants par double vitrage (en plusieurs phases)
– Isolation intérieure d’une chambre au nord avec plaques 5cm laine de roche + BA13
– Installation d’un insert dans la cheminée existante
– Installation d’un système de récupération d’air chaud de l’insert et soufflage vers les chambres
– Isolation intérieure séjour côté sud avec plaques 5cm laine de roche + BA13
– Isolation extérieure séjour côté nord (isolant Styrodur 8cm dans le garage)
– Isolation intérieure couloir longeant la terrasse sud et desservant les chambres avec plaques 5cm laine de roche + BA13
– Remplacement de certains radiateurs par des modèles classiques mais surdimensionnés
– Réfection de la terrasse nord et suppression d’un pont thermique sur une dizaine de mètres entre celle-ci et la maison
– Création d’une véranda côté sud et de son plancher chauffant (17 m2)

Je n’ai pas de mesure fiable de consommation de fuel année après année, mais le confort de la maison a progressé à chaque étape comme le prix du fuel. J’ai vu comme tout le monde les factures grimper et la dernière pour un remplissage de cuve de 2500 l pour la consommation de l’année m’a décidé à changer de système de chauffage et à poursuivre les travaux d’isolation.

Les travaux de 2012

– L’isolation des combles par 30 cm de Comblissimo en vrac
– La pompe à chaleur DAIKIN Altherma HT 16 kW
Le couplage des 2 types de travaux conduisant à une prime de 1000€.

Les travaux en cours non encore finis

– Isolation par l’extérieur des murs nord et ouest

Je ne m’étends pas sur l’installation de la pompe à chaleur, les photos valant mieux qu’un long discours. A noter cependant :
– que j’ai préféré garder l’ancienne chaudière « au cas où ». Un jeu de vannes manuelles permet d’isoler la pompe à chaleur et de repartir de la chaudière vers les radiateurs.
– un ballon tampon de 50 litres alimentant 2 circuits secondaires à des températures différentes (radiateurs et plancher chauffant)
– l’installation a duré 2 jours et demi, par une équipe qui m’a paru très professionnelle et ayant mis beaucoup de soin aux « travaux liés au gaz

Le groupe extérieur

Le groupe intérieur et le ballon de mélange bleu

L’ancienne chaudière

Je me suis lancé également dans un système de mesure de l’énergie consommée par la PAC afin d’optimiser son réglage et d’avoir des relevés de consommation fiables (voir plus bas).

Voici en quelques mots la démarche suivie pour le réglage de la PAC:

– lecture attentive sur www.chaleurterre.com des posts relatifs aux PAC de la même famille. Je suis donc sensibilisé à la nécessité d’éviter les cycles courts. Je décide également d’installer de quoi suivre la consommation électrique de la PAC et des circulateurs ainsi que les températures associées, seul moyen à mon sens de s’assurer du bon réglage et comportement de la PAC.
– à l’installation de la PAC, les réglages de base sont tels qu’il est peu vraisemblable que des cycles courts se produisent. En revanche, chaleur assurée dans la maison et satisfaction du client (jusqu’à ce qu’il reçoive sa facture EDF)…
– je passe un peu de temps à régler la loi d’eau et arrive très vite à la conclusion qu’il est impossible d’éviter les cycles courts compte tenu des températures courantes (autour de 10°C).
– à l’aide de mon dispositif de mesure et enregistrement des consommations, je recherche la température minimale de loi d’eau conduisant à un fonctionnement stable. Cette température est de 38°C pour une plage de température externe allant de 10 à 15°C.
– je dévalide le régime de nuit, au moins pour ce début de saison, car faire descendre la consigne de quelques degrés pour la nuit et passer en deçà de la barre fatidique des 38°C engendre une instabilité de la PAC et des cycles courts.
– je découvre en comparant le relevé des consommations entre le mode loi d ‘eau et le mode « température fixe » une plus grande instabilité de la PAC par température douce en mode loi d’eau. Depuis ce constat, je ne fonctionne qu’en mode « température fixe ».
– je lance une série de mesures pour évaluer la consommation pendant des phases de fonctionnement type.

1) fonctionnement stabilisé à 38°C

Au cours de cette mesure, la PAC est en fonctionnement 38-33-8 (Tsortie-Tentrée-Text) sans loi d’eau. Compte tenu des températures externes rencontrées (autour de 10°C), la PAC fonctionne en régime continu et minimal, entrecoupé de ce que j’imagine être un OR (Oil Recovery) car il fait trop doux pour un dégivrage. La consommation moyenne horaire sur plus de 6 heures de fonctionnement s’établit autour de 1,15 kWh (incluant cet OR). Le maximum enregistré est de 1,35 kWh par température nocturne descendant jusqu’à 4°C avec 2 OR dans la nuit.

2) démarrage à froid

La phase consiste à faire passer la température d’eau de sortie de 17°C à 40°C. La durée approximative de cette phase est d’1 heure avant d’atteindre un fonctionnement stabilisé. La consommation maximale moyenne sur cette heure est d’environ 3 kWh. Dans l’heure suivante, la consommation moyenne horaire se stabilise à 1,5 kWh pour une température d’eau de sortie de 40°C. A noter que la mesure est faite alors que la PAC est en loi d’eau et la régulation parait plus « chahutée » qu’en T fixe. L’arrêt complet de la PAC n’est « rentable » que s’il dure au moins 2 ou 3 heures. Dans le cas contraire, il vaut mieux laisser la PAC tourner.

3) passage de 38°C à 40°C

Cette phase pourrait correspondre au besoin d’un peu plus de confort le matin avant le lever. Le fonctionnement stabilisé s’obtient assez vite mais conduit très souvent la PAC à passer en mode dégivrage compte tenu de la baisse de température au niveau du groupe extérieur. Puissance moyenne sur 2 heures légèrement supérieure à 1,5 kW.

4) dégivrage ou OR

Je ne suis pas sûr de l’objectif de ce que j’ai mesuré là (dégivrage ou OR) compte tenu des températures extérieures rencontrées. L’objet de cette mesure était d’évaluer l’impact d’un cycle de dégivrage/OR lors d’un fonctionnement en continu de la PAC. Le dégivrage/OR commence par un arrêt de la PAC suivi d’une phase d' »inversion » consistant à prélever de l’énergie du ballon mélangeur pour l’envoyer vers le groupe extérieur. Puis, la PAC se remet en route et compense la perte d’énergie du ballon mélangeur. Le dégivrage lui-même (injection de « chaud » dans le groupe extérieur) dure environ 4 mn pour une « perturbation » totale de 30 mn (jusqu’au retour de la PAC à des conditions stabilisées). Dans les conditions de mesure 38-33-8, ce dégivrage/OR « coûte » environ (2.0 kW – 1.2 kW) * 0.5h = 0,4 kWh, c’est-à-dire l’équivalent de 20mn de chauffage stabilisé.

– à partir du résultat de ces mesures, je décide de programmer le fonctionnement de la PAC pour ce mois de Novembre 2012 selon 2 profils:

1) un premier profil « Semaine » correspondant aux étapes suivantes:

– passage de la température de sortie eau de 38 à 40°C à partir de 5:00,
– coupure de la PAC de 7:00 à 17:00 (si personne à la maison),
– démarrage de la PAC en mode T fixe à 38°C à partir de 17:00 et jusqu’au lendemain matin.

Un enregistrement permet de voir l’évolution de la température interne au cours d’un tel cycle. Celui-ci a été effectué avec des températures diurnes de 15°C et nocturnes allant de 8 à 4°C. Les variations sont tout à fait acceptables et on voit clairement l’apport solaire de la véranda autour de midi. La température intérieure de 20-21°C est soutenue pendant la nuit, augmente légèrement au matin, décroit assez rapidement ensuite suite à l’arrêt de la PAC, se relève autour de midi en raison de l’apport solaire, re-décroit jusqu’à la relève de 17:00. Au bilan, un cycle neutre montrant une bonne adéquation entre l’apport et la consommation.

La consommation estimée à partir des mesures sur les différentes phases donne environ 22 kWh, correspond au relevé journalier observé au sous-compteur.

2) un deuxième profil « Week-end » à température de sortie eau fixe 38°C

La température interne reste très stable avec une poussée autour de midi en raison de l’apport solaire de la véranda (si l’ensoleillement est au rendez-vous, ce qui est assez courant car on est dans le midi tout de même…).
La consommation maximale estimée sur cette journée type est légèrement supérieure à 30 kWh.

Le système de mesure

– Il est basé sur un sous-compteur délivrant 400 impulsions par kWh consommé par la PAC et les circulateurs.

– la mesure de la période est effectuée par un Arduino qui la transmet à un PC toutes les 30s.

– la mesure et sa moyenne sont affichées à l’aide d’un logiciel traceur développé sous Processing. Au-delà de l’affichage en temps réel des mesures, celles-ci sont enregistrées dans un format permettant une exploitation ultérieure par Excel.

Les courbes présentées plus haut proviennent de cette exploitation Excel.
– la mesure des températures se fait pour le moment à l’aide d’un enregistreur USB, fort pratique de par son autonomie et de sa capacité à être installé partout mais dont la synchronisation avec d’autres données comme la consommation se révèle laborieuse.
– je suis donc en train de raccorder à l’Arduino une chaine de capteur OneWire (DS18B20) afin de faciliter l’analyse des données.

En attendant les compléments qui viendront au fur et à mesure de la saison, voici pour conclure les points positifs et négatifs de mon expérience PAC qui ne fait que commencer.

Ce que je referai ou les points positifs

– tous les travaux d’isolation qui sont un pre-requisit pour gagner en confort avec notamment arrêt des courants d’air, suppression des parois froides, meilleure inertie, autonomie en chauffage grâce à l’insert et au système de distribution d’air chaud,
– le chauffage basse température continu, même en radiateur « conventionnel», qui procure un confort inégalé en comparaison avec le fonctionnement en « tout ou rien » de la chaudière,
– le choix d’économiser le boitier de commande déporté,
– le premier bilan de consommation qui parait très prometteur,
– la bonne qualité de l’installation et un très bon niveau d’échange avec l’installateur face aux questions posées,
– le dispositif de mesure « maison » dont j’imagine de nombreuses possibilités (enregistrement de paramètres suite à évènements, surveillance automatique et alerte en cas d’anomalie…),
– et bien sur toutes les infos apportées par Chaleur Terre que je remercie « chaleureusement » au passage !

Les questions que je me pose encore ou les regrets:

– ne pas avoir installé des planchers chauffants quand j’ai refait le carrelage des chambres (erreur de jeunesse…),
– une petite impression de surdimensionnement de la PAC mais nous ne sommes pas encore rentrés dans l’hiver. Elle est néanmoins effacée par le bilan très prometteur de la consommation et l’écart raisonnable de prix entre les différentes puissances de PAC,
– des réglages à la mise en route par l’installateur ne correspondant pas aux spécificités de l’installation mais répondant à des consignes « usine ». Je n’ai, en tout cas, jamais entendu parler d’un installateur qui prendrait la peine, suite à la mise en route d’une installation, de faire un suivi de consommation et/ou de température pour trouver le réglage optimum pour son client…
– un déclenchement des dégivrages/OR pas bien compris compte tenu des températures extérieures rencontrées. J’ai trouvé peu de documentation sur les OR. La PAC fait-elle bien la même chose pour ces 2 besoins différents ?

A suivre donc au fur et à mesure du déroulement de cette première saison de chauffe !

Fifi le Pacchauffiste

Réparation des tuiles !

Dimanche dernier, une très forte averse a fait qu’il a fallu sortir quelques cuvettes dans le garage ! Ce samedi, montée sur le toit pour voir son état…

Quelques tuiles déjà fendues l’année dernière et réparées avec du mastic étanche méritent une couche supplémentaire

et puis, d’autres tuiles méritent plus que ça…Celle-ci a d’anciennes traces de réparation. Avant…

Après !

Et puis sur le coté Ouest du toit, il y a au moins 20 tuiles cassées qui méritent le même traitement. La barre bleue me permet d’enlever les aiguilles de pin qui ont tendance à composter !

Le rouleau de « scotch » à tuiles ! Une face plastifiée, une face collante goudronnée protégée par un plastique blanc

Et voila ! C’est pas très beau mais c’est étanche !

Le toit et ses tuiles réparées. Les cassures des tuiles suivent la même ligne et sont dues au fait que toutes les tuiles sont scellées.

La vue du toit ! Il fait incroyablement doux pour un mois d’Octobre mais la pluie est attendue pour les jours qui arrivent. On pourra ranger les cuvettes !

Fifi le réparatoit

La rénovation de la chambre de Florence (première partie)

Voila plusieurs semaines que Marie Chantal a en tête d’équiper la chambre de Florence avec de nouveaux rangements. Ce week-end, début des travaux avec en plus un grand lessivage et une couche de peinture fraiche !

D’abord on vide tout et on bouge l’armoire. Admirez les composteurs au passage !

Derrière, c’est un peu cracra, grand lessivage au St Marc et rebouchage des trous…

Même chose coté du lit, qui a été déménagé avec 2 ou 3 babioles.

ça, c’est les 2 ou 3 babioles, dans la chambre de Rémi…

Et un peu aussi dans la chambre de Claire…

Meanwhile, Marie-Chantal monte les nouveaux meubles dans le séjour…

Et Mimi-Noisette lit le Monde magazine…

Mais revenons à la chambre, où la peinture a commencé

Vue sur l’abat-jour en exemplaire unique de Florence

Mise en place du premier meuble. 3 mm de jeu entre les meubles et les murs !

La partie supérieure du meuble…

Fin des travaux pour ce soir après pose et réglage des portes

Fifi et Marie Chantal les Flofloikeameublistes

 

Travaux de douche, suite !

Le complément de carrelage de la salle (!) de douche est fini ! Il monte jusqu’au plafond et devrait éviter que le mur s’abime avec l’humidité.

Question: qui sera deviner où est Crapouilleux ?

En cours de travaux !

En prime, les travaux de réfection de la douche en Janvier 2004.

Je casse tout !

La douche et la saignée de passage des tuyaux

Fifi le doucho-carreleur-bis

Joies et misères de la piscine !

Les dernières misères de la piscine (baisse inexpliquée de 30 cm de son niveau) m’ont donné l’idée d’un article sur les joies et misères procurées par celle-ci…

Joie: bien sûr avec l’image idyllique que procure la piscine quand tout va bien ! Ici, une jolie photo trouvée sur notre PC qui montre à l’évidence le plaisir qu’elle a  procuré à une famille d’échange de maisons (les anglais ?)

Misère: la piscine lors des chutes de neige fameuses de Janvier 2009… pas vraiment envie de s’y baigner mais on rêve que l’été revienne…

Joie: ça y est, l’été est là et la piscine a retrouvé sa couleur magique de lagon polynésien !

Misère: chaque année, la piscine devenue un cloaque infâme est vidée, karcherisée et remplie avec l’eau du puits. Ici en cours de vidage (Mars 2002)…

Plus le niveau baisse, plus l’eau devient vase…

Bel effet « avant-après »

ça y est, c’est vide et propre. Il ne reste plus qu’à remplir. 24 heures non stop de pompe à puits.

Le remplissage est en cours et la couleur vire au bleu…

Joie: la saison piscine peut commencer (Juillet 2001)…

Le garage à bateaux (Août 2000) !

Misère: l’hiver revient…

Puis un jour la pompe du circuit de filtration a grillé. Je décide en Mai 2001 d’en profiter pour refaire le local technique souterrain et changer le filtre à sable. Je commence par installer un portique maison pour retirer du local l’ancien filtre en inox qui doit bien peser ses 100 ou 150 kg.

On voit ici l’engin au fond du local qui fait penser à sous-marin de la dernière guerre…

Le vieux filtre est extirpé du local technique !

Le nouveau filtre à sable en résine bleue est presque en place. Il est posé ainsi que la pompe sur un faux plancher de 20 cm qui rendra le tout plus tolérant aux inondations dues aux fortes pluies.

Joie: la piscine est prête à l’emploi ! Ici, Rémi et ses copains-copines le jour de son anniversaire en 2005…

Misère: Mai 2004. Un des 2 skimmers a rendu l’âme ! Il faut creuser largement pour installer le nouveau qu’on voit ici en place. Il faut en profiter pour changer le tuyau qui le relie au local technique pour le remplacer par un tuyau souple, plus résistant. Le nouveau tuyau doit passer dans un tunnel à creuser entre le skimmer et le local dont on voit la trappe en haut à droite. Seule solution: percer la dalle béton qui doit bien faire 20 cm tous les 2 mètres et creuser entre 2 trous sous la dalle !

On voit ici Marie-Chantal au boulot, à creuser le tunnel sous la dalle béton… Ah, il faut la mériter sa baignade !

Voila ! Le nouveau tuyau est en place dans son tunnel ! Il ne reste plus qu’à reboucher et daller !

Joie: une nouvelle saison s’ouvre. Ici Rémi dans son paquebot en Juin 2003 !

Misère: Mars 2003. Le revêtement de la piscine est devenue bien gris et nous décidons de repeindre ! Avant la peinture, passage à l’acide chlorhydrique pour supprimer le calcaire déposé. Bottes, gants, lunettes et masque obligatoires ! Passer la peinture à coté est un vrai plaisir surtout avec un rouleau large monté sur un manche télescopique.

Encore une fois Marie-Chantal au travail avec son rouleau à rallonge !

Joie: la baignade de nuit en Juillet 2004 !

Misère: une fuite aux buses de refoulement en Mars 2005. Là encore, il faut ouvrir, creuser un tunnel et changer le vieux tuyau par un nouveau souple !

Joie: voila, on est en 2012, la piscine est belle, la véranda est là…

Misère: début Septembre, fuite inexpliquée dans la piscine ! Les skimmers ne sont plus alimentés.

Heureusement, la prise de surface est toujours en place et permet le filtrage de la piscine.

Mais Minette est bien triste car la fin de saison est bien compromise !

Fifi le piscino-tristo-jouissif

Rénovation de la salle de douche

Occupation de ce Dimanche 9 Septembre ensoleillé (et trop chaud pour trainer dans le jardin): compléter le carrelage au dessus de la douche jusqu’au plafond ! Par chance j’ai retrouvé quelques carreaux de réserve et ce complément évitera que le mur s’abime au fil des douches. On voit au dessus de la fenêtre le mur à nu après grattage du plâtre qui se délitait…

Fifi le doucho-carreleur

La création de la chambre de Claire (2000-2002)

3 ème épisode de la série « rénovation de l’an 2000 », la chambre de Claire ! Il aura fallut 2 ans pour finir cette pièce entre l’été 2000 qui a connu la restructuration des cloisons et l’été 2002 où la dernière couche de peinture a été passée.

Août 2000: la nouvelle pièce, vue de la cuisine. Initialement cette pièce ne devait pas servir de chambre mais plutôt de bureau ou de bibliothèque. Au fond, la cloison de la nouvelle salle de bain. Au sol, la trappe de la cave.

A gauche, la porte de la chambre de Claire donnant sur la terrasse nord. A droite l’ancienne porte de la cuisine, maintenant condamnée. On voit en bas à droite un bout de l’ancien WC rose…

A gauche, la cloison de la nouvelle salle de bain. A noter la teinte rose du vitrage de ce qui était une des 2 fenêtres de l’ancienne salle de bain.

Montage de la porte de la chambre de Claire donnant sur le couloir. On voit nettement au plafond les traces de l’ancien couloir qui permettait d’aller de l’avant à l’arrière de la maison.

La porte est installée et la cloison refaite autour.

Démarrage de la cloison entre chambre de Claire et arrière cuisine. La cloison est faite de carreaux de plâtre.

La cloison prend forme pour séparer la chambre de Claire de l’arrière cuisine.

Fin de la cloison, l’ancien couloir est devenue une pièce ! La chambre de Claire est née !

Montage du faux plafond et des spots intégrés.

Le faux plafond est en place. Porte et fenêtre sont passées en double vitrage.

Juin 2001: coulage de la dalle. Le tuyau bleu est une prise d’air vers la cave.

La dalle est terminée et prête au carrelage.

Février 2002: début du montage du muret qui portera le radiateur.

Le muret est monté et le tour de la fenêtre est plâtré.

Le plus gros du travail est fait. Reste à se débarrasser des gravats. A gauche, l’ancienne baignoire.

Fifi le clairouchambriste

La rénovation de la Ventarelle (épisode 2)

Suite de la rénovation de la Ventarelle !

Après la rénovation de la salle de bain, le mois d’Août 2000 fut consacré à la rénovation des WC !

Après destruction des cloisons environnantes, le WC d’origine, un peu perdu dans les gravas ! On voit la cuisine sur la gauche et en bas la trappe de la cave !

Montage de la cloison de séparation avec l’arrière cuisine dans laquelle se trouve aujourd’hui le frigo. Au fond, l’ancienne porte qui donnait vers la terrasse nord est condamnée.

La cloison est finie, passage de la plomberie vers la cave.

La dalle est coulée, prête à recevoir le carrelage.

Montage de la structure contenant le réservoir d’eau.

Faux plafond qui abritera l’éclairage.

Puis on passe au carrelage du sol au plafond.

Détail du carrelage autour de l’interrupteur.

Le bloc technique disparait petit à petit derrière le carrelage.

Mise en place de la cuvette.

Et voila ! C’est fini ! Brillant comme un sou neuf !

Prochain épisode: la chambre de Claire

Fifi le rénoWCiste